Le commerce électronique, est-ce approprié pour vous?

Une occasion d’affaires? Les objectifs de vendre en ligne sont multiples, mais il faut s’outiller. Une stratégie commerciale est essentielle pour générer un achalandage, déclencher l’achat et fidéliser le cyberacheteur. Sur ces sujets, une série d’articles seront publiés dans votre INPACQ l’Infolettre au cours de l’automne 2015. 

Clavier d'ordinateur

Crédit photo : Danilo Rizzoti, FreeDigitalPhotos.net

Les objectifs de vente en ligne sont nombreux :

  • Vous cernez une opportunité d’affaires, car vos produits sont faciles à expédier par voie postale (léger, non périssable, incassable, de petit format, etc.).
  • Vous participez à des événements et salons et vous souhaitez rendre disponibles vos produits à cette clientèle.
  • Vous vendez en marché public, de façon saisonnière, mais votre clientèle consomme votre produit sur une plus large période. Vous souhaitez éviter que vos clients se replient vers un concurrent.
  • L’achalandage à votre commerce est concentré en quelques semaines (érablière, petits fruits, verger, etc.), mais vous souhaitez vendre vos produits transformés sur une plus longue période.
  • Votre produit s’adresse à une clientèle spécifique et vous souhaitez élargir votre territoire de vente pour atteindre un plus grand nombre de clients potentiels. Vous voulez réagir à la concurrence qui développe son marché sur la toile.

Tout d’abord, le commerce électronique au Québec, qu’en est-il?

Il est estimé à 6,6 milliards de dollars des dépenses totales des Québécois sur Internet en 2014 . Au Canada, selon les estimations d’Emarketer, 5,9 % des ventes totales au détail seront effectuées en ligne en 2015. Selon le CEFRIO, une part de, 12 % des entreprises québécoises vendent en ligne. Que dire du secteur alimentaire? De ce nombre, 14 % sont de la catégorie « alimentation, épicerie, restaurant et traiteur ». On constate également qu’IGA et Loblaws y sont présents. Pour le moment, les statistiques indiquent que le secteur alimentaire tire une part relativement faible des cyberacheteurs. C’est 9 % des Québécois qui se sont procuré en ligne des produits de la catégorie « alimentation, santé et beauté ». Du côté de nos voisins français, le baromètre FODALI 2015, révèle que 46 % pratiquent l’achat alimentaire en ligne.

Force est de s’intéresser à ce mode de distribution qui chamboule la vente au détail. Avant tout, il est important de connaître les différents canaux de mise en marché, ainsi que le profil des cyberacheteurs gourmands. Voici un autre texte portant sur ces sujets :

Je vous invite à lire mes prochains textes dans les prochaines éditions d’INPACQ l’Infolettre et j’espère qu’ils pourront vous aider dans votre réflexion.

Julie Chabot
Conseillère régionale en développement local, diversification et commercialisation

Date de diffusion : 15 septembre 2015

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Dernière mise à jour : 2015-11-18

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