Une mauvaise gestion de l’eau de surface ou de l’eau souterraine est parfois la cause de mauvais rendements. Par contre, en êtes-vous bien certain ? Tout d’abord, il est préférable, voire essentiel, de réaliser un diagnostic avec l’aide d’un professionnel pour identifier les vrais problèmes.
C’est en 2006 que tout a commencé lorsque M. Yves Lampron a décidé de planter plus de 5 kilomètres de peupliers hybrides le long de la rivière Blanche à Saint-Boniface. Les arbres sont maintenant grands et majestueux. En 2014, la Ferme Y. Lampron et fils, inc. a décidé de poursuivre le travail entamé en 2006.
De plus en plus implantés dans les haies brise-vent et les bandes riveraines, certains arbustes gagnent à être connus. En voici donc cinq qui présentent des caractéristiques remarquables pour la biodiversité des milieux agricoles au Québec.
Que vous soyez en production de grandes cultures, de fruits, de légumes en serre ou en champ, d’arbres de noël, en régie conventionnelle, biologique certifiée ou en transition biologique, de l’aide financière est disponible pour l’achat ou l’amélioration d’équipements de pulvérisation de pesticides.
Le respect d’une bande riveraine minimale de 3 mètres de largeur à partir de la ligne des hautes eaux est un premier pas pour réduire l’impact des activités agricoles sur les cours d’eau. L’aménagement optimal de la végétation de la bande riveraine et son élargissement de quelques mètres augmentent son efficacité et offrent plusieurs autres bénéfices.
La réalisation d’aménagements et l’adoption de pratiques favorables à la biodiversité peuvent s’avérer plus rentables que vous ne le pensez. En effet, plusieurs organismes vivant en milieu agricole fournissent différents biens et services, favorisent la productivité des cultures et des élevages et contribuent à la qualité de vie. Vous avez probablement des questions comme : « C’est bien beau, mais qu’est-ce que je peux faire exactement sur ma ferme? Qui peut m’aider? Y a-t-il des aides financières? »
C’est bien connu, l’agriculture s’intensifie à vitesse « grand V ». Les champs sont aménagés de manière à cultiver de plus grandes superficies et à évacuer l’eau de surface le plus rapidement possible. On pourrait penser que cette façon de faire n’apporte que du positif, mais la réalité en est tout autre. Le drainage de surface, lorsqu’il est mal planifié, peut apporter d’importants problèmes d’érosion et l’aménagement d’ouvrages de conservation aux endroits stratégiques demeure un incontournable pour les contrôler efficacement. Heureusement, le programme Prime-Vert vient en aide aux producteurs agricoles pour protéger les sols et les cours d’eau.
La santé des sols est partie intégrante de la conservation des sols et de l’eau et se doit d’être un travail constant pour développer une agriculture durable et rentable. Un bon nombre de pratiques peuvent contribuer à améliorer ou conserver la santé des sols de vos champs.
Un bassin de stockage d’eau et de sédimentation (BSES) est une structure visant à retenir en permanence ou provisoirement l’eau de ruissellement chargée de particules de sol, de matières organiques et de nutriments. Par décantation, un BSES permet de capter une partie de ces particules.